Invention pour stopper l’auto-inoculation pendant les épidémies. Détecteur automatique pour empêcher les touchers du visage inconscients et involontaires. Solution technologique sans-fil (bluetooth) pour neutraliser l’auto-inoculation.

Publié par Dr sc Olivier Dufour le

Solution technologique pour lutter contre l’auto-inoculation.
Comment résoudre le problème de l’auto-inoculation.
Comment bloquer les réflexes involontaires et inconscients de toucher du visage (muqueuse).
Boîtier bluetooth tête-poignet pour détecter automatiquement et prévenir chaque fois qu’un humain rapproche les mains de son visage.

Invention pour stopper auto-inoculation. Détecteur pour empêcher les touchers du visage inconscients

Bonjour

Ceci est la description d’un procédé technologique pour lutter contre l’auto innoculation.
Cette description a pour objectif d’empêcher que cet outil fasse l’objet d’un dépôt de brevet.
Puisque la présente vidéo est la première publication de cet outil, il ne pourra être privatisé.
Et moi, le docteur en sciences Olivier Dufour, déclare que cette description tombe dans le domaine public.
J’autorise n’importe quelle entreprise privée ou publique à commercialiser cet outil.
J’autorise n’importe quelle armée ne n’importe quel pays à développper cet outil.
Le présent outil concerne en particulier les espaces clos des navires militaires.
J’autorise n’importe quelle association ou particulier à fabriquer cet outil, à le vendre à n’importe quel prix ou le distribuer gratuitement.

Voici un exemplaire d’Homo sapiens.
Est-ce que vous remarquez quelque chose de particulier?
Voici en rouge les principaux trous par lesquels des organismes extérieurs peuvent entrer à l’intérieur du corps de cet Homo sapiens.
On appelle ça classiquement des muqueuses.
Il y a l’anus, l’urêtre, le vagin, les yeux, la bouche, et la pire de toutes: le nez.

Première chose, vous voyez que sur le corps humain, les trous qui mènent à l’intérieur sont très localisés.
Je veux dire par là, qu’ils sont quasiment tous regroupés au même endroit.
La tête regroupe la quasi totalité des muqueuses, dont la plus terrible de toutes: le nez.
La tête regroupe la quasi totalité des trous par lesquels les trucs dangereux peuvent rentrer dans notre corps.
Je ne compte pas les oreilles parce que dans la littérature scientifique, ce n’est pas une muqueuse.
Mais ça mériterait un débat.
Deuxième chose, vous remarquerez que les homos sapiens sont équipés de bras.
Que sont les bras?
En un sens, les bras sont les rayons articulés d’un cercle dont l’anus et la bouche sont 2 points de la périphérie.
Dit plus simplement, les bras sont d’excellents moyens de transports des matières fécales et génitales vers la bouche, le nez, les yeux.
Mais aussi, les bras sont d’excellents moyens de transports des organismes dangereux du sol vers la bouche, le nez, les yeux, le cucul et la zézette.

Or, depuis plusieurs décennies, des scientifiques, partout sur la planète, ont calculé et signalé qu’une des principales causes d’épidémie, ce n’est pas tant les capacités réplicatives des pathogènes, mais c’est en grand partie la faute de l’auto-innoculation.
Je vous mettrai dans la description sous la vidéo, la littérature scientifique sur laquelle je m’appuie pour tenir ces affirmations péremptoires.

Des scientifiques ont clairement identifié qu’une des plus grande forces de l’espèce humaine était détournée et retournée contre elle-même.
En effet, les humains sont extrêmement adroits de leurs membres.
La station bipède permet de libérer leur membres antérieurs.
Ces mains, ces doigts préhensibles combinées à des bras télescopiques sont très utiles.
La combinaison gros cerveaux + bras + mains disponibles est très utile pour modeler la matière, et pour créer des outils.

Mais elle a aussi un inconvénient.
Parce que les mains facilitent énormément la tâche aux parasites qui voudraient rentrer dans notre corps.
Imaginez que vous êtes un micro-organisme qui veut rentrer dans le corps de cette femme.

Par définition, si vous êtes un micro-organisme, elle ne pourra pas vous voir.
C’est la définition de microbe ou micro-organisme: qui est vivant mais qui ne peut être vu par des yeux d’humains.

Par définition, si vous êtes un micro-organisme, vous échapperez à la détection par ses yeux.
Mettez-vous à la place d’un micro-organisme.
Choisissez votre personnage.
Vous pouvez choisir par exemple entre être bactérie ou un virus ou un champignon ou une levure ou une algue, un protozoaire, et cetera et cetera.

Votre objectif est donc de rentrer à l’intérieur de cette femme pour votre propre survie.
A l’intérieur de cette femme, vous serez protégé du froid, des ultraviolets.
Vous aurez de l’eau et des nutriments dans des quantités quasi illimitées, au regard de votre taille.

Donc, ce qui vous intéresse, c’est de vous rendre à un des trous, à une des voies d’entrée, à une des muqueuses.
Vu comment est fait le corps humain, ce serait plus malin de viser la tête ou le sillon inter-fessier.
Mais en fait, ce n’est même pas la peine de vous prendre la tête à réfléchir par quelle côté envahir.
Parce que les humains sont tellement cons, qu’il suffit que vous atteignez n’importe quel point de son corps, si vous y restez vivant suffisamment longtemps, l’humain lui-même va vous ramasser involontairement avec ses mains, et vous ramener à un de ses trous.
J’ai une pensée chaleureuse pour tous mes confrères, qui, je le sais se rendront compte que sans même y penser, ils sont en train se stimuler le prépuce avec le pouce et l’index en écoutant ces mots.
Ceci dit vous avez bien raison, mais revenons-en à nos moutons.
Donc, le problème c’est pas uniquement l’existence des parasites.
Le problème, c’est que les épidémies n’existeraient peut-être même pas si les humains pouvaient bloquer les réflexes automatiques et inconscients de se toucher la tête ou l’entre-jambe.

Plusieurs études scientifiques ont quantifié le nombre de fois où un humain se touche le visage par heure.
Je vous mettrai leurs références dans la description sous la vidéo.
Chez 1 000 iraniens, le nombre de touchers du visage par heure étaient de 6 à 13.
Et ce, avant l’épidémie de COVID-19.
Dans 2 études américaines qui ont rapportées des observations directes de toucher du visage, la fréquence moyenne était de 9 et 62 fois par heure.
Dans 2 autres études aux États-Unis et au Japon, utilisant des enregistrements vidéos, les moyennes étaient de 16 et 18 fois par heure respectivement.

Or, à chaque fois qu’un humain se touche le visage, il vient potentiellement de déposer très près d’une de ses muqueuses, un micro-organisme récolté par ses mains à un autre endroit de son corps.
Cet autre endroit peut être le pied, le ventre ou une autre muqueuse.
Cet autre endroit peut être le nez.
Prenons l’exemple du nez.
Or, environ 20 à 30% des gens ont des Staphylocoques dorés dans le nez.
Pensez-y lors de votre prochaine soirée salsa: 2 ou 3 personnes sur 10 ont des Staphylocoques dorés englués dans le nez.
Tant que ces Staphylocoques dorés restent dans le nez, c’est pas grave.
Mais par contre, si vous vous touchez le nez, et qu’ensuite vous déposez des Staphylocoques dorés proche de vos yeux, ou de votre bouche, ou sur une petite coupure sur les mains, Alors là, ça peut être beaucoup plus grave pour votre santé.
Vous pouvez plus classiquement les transporter de vos mains vers les mains de votre cavalière.
Et le mieux, c’est quand vous prenez un peu de Staphylocoque doré dans votre nez à 23h, et que 15 minutes plus tard, vous les tartinez sur le coup ou les cheveux de votre cavalière lors de certaines passes ou de certains portés.

Je vous parle des Staphylocoques dorés parce que c’est un des micro-organismes les plus connus.
Mais il y a littéralement des millions d’autres espèces de pathogènes, potentiellement présents dans votre nez.
Des pathogènes qui ne veulent qu’une chose, rentrer dans vous.

Alors on a des chiffres aussi sur quelles parties du visage on se touche avec les mains sans y penser, sans forcément en avoir conscience.
La moitié des fois où on se touche le visage, on se touche une muqueuse (yeux, nez, bouche) .
L’autre moitié des fois où on se touche le visage, on se touche une zone non muqueuse.
Les oreilles, les joues, le menton, le front et les cheveux sont des exemples de zones non muqueuses du visage.

Quand on se touche une muqueuse du visage, c’est environ, dans environ 30% des cas: la bouche, dans environ 30% des cas: le nez et dans environ 30% des cas: les yeux.
Mais dans 6% des cas, on se touche une combinaison des 2 ou 3.
Donc c’est pour ça que porter un masque chirurgical ou FFP2 est une solution possible.
Mais les masques chirurgicaux et FFP2 sont chiants.
C’est pénible à porter, surtout sur de longues durées.
C’est pénible à porter dès qu’on effectue un travail physique, c’est à dire souvent et la plupart d’entre-nous.
Et quand le masque est sale, le remède devient peut-être pire que le mal.
Et le masque n’est qu’une barrière de plus au vrai problème.
Le vrai problème, c’est cette salle manie inconscience et involontaire qu’ont les humains de se tripatouiller le corps des dizaines de fois par heure, alors que c’est pas nécessaire.

Le présent outil a pour but d’entraîner les humains qui le souhaitent à ne plus se toucher involontairement le visage.
Le présent outil détecte et signale les fois où vous allez vous touchez le visage involontairement, voire inconsciemment.

Le présent outil est constitué de 2 parties, 2 boîtiers.
Les parties A et B contiennent chacune un circuit électronique et plusieurs composants électroniques: bobines, résistance, diode, transformateur, condensateur, buzzers, haut-parleurs acoustiques, batteries rechargeables, potentiomètres et moteurs solénoïdes.

La partie A peut être fixée sur une coiffe, sur un chapeau, ou directement sur les cheveux.
La partie A peut être fixée par couture ou par broche.

La partie B peut être fixée sur les doigts, la main ou le poignet.
Les parties A et B sont équipées de batteries à courant continu.
Les parties A et B communiquent constamment.
Les parties A et B utilisent la technologie bluetooth sans fil pour mesurer constamment petit d, la distance que les sépare.
Les parties A et B sont programmées pour comparer cette distance mesurée à une valeur de seuil petit s.
Quand la valeur de petit d devient égale ou inférieure à la valeur de petit s, cela signifie que les mains ou le poignet sont suffisamment proches du visage pour correspondre à un toucher du visage.
Quand la valeur de petit d devient égale ou inférieure à la valeur de petit s, les parties A et B déclenchent un stimulus acoustique et tactile.

La mesure de petit d, ainsi que sa comparaison à petit s, ainsi que le déclenchement conditionnel du stimulus, est une boucle d’instructions successives répétée infiniment dans le temps, dès le démarrage des boîtiers.
La fréquence de répétition de cette boucle est de quelques millisecondes.

Les parties A et B émettent un signal acoustique via les buzzers et les hauts-parleurs dont elles sont équipées.
Les parties A et B émettent un signal tactile, via les doubles moteurs solénoïdes, qui permettent de produire des vibrations.
L’intensité de tous les signaux acoustiques et tactiles sont réglables.
Les parties A et B peuvent être réglées de manière à n’émettre que des signaux acoustiques ou tactiles, indépendamment.
Les stimuli acoustiques et tactiles ne sont pas répétés.
Ces stimuli acoustiques n’ont pas pour objectif de sanctionner le porteur.
Ces stimuli acoustiques n’ont pas pour objectif de dresser le porteur.
Ces stimuli acoustiques ont pour objectif de rendre compte au porteur qu’il est, probablement de manière involontaire, en train de porter ses mains à son visage.
Le porteur reste maître de mettre fin au geste ou de le confirmer.
Le but est précisément d’accroître le contrôle que le porteur a sur son propre corps.
Ainsi donc, dès que l’outil détecte et signale un dangereux rapprochement des mains au visage, il émet ses signaux acoustiques et tactiles pendant une seconde, puis cesse toute mesure, toute comparaison, toute émission acoustique ou tactile pendant 5 secondes.

Chaque boîtier est équipé d’un interrupteur. Cet interrupteur permet d’éteindre ou d’allumer chaque boîtier.
Chaque boîtier est équipé de 3 potentiomètres.
2 potentiomètres permettent de diminuer ou augmenter l’intensité du signal acoustique et du signal tactile.
Le 3ème potentiomètre permet de diminuer ou augmenter la valeur de petits s.
Il appartiendra ainsi au porteur d’utiliser ces potentiomètres, ces outils de réglages, afin d’atteindre des valeurs seuil qui lui conviendront.

Les boîtiers sont équipés de diodes électroluminescentes.
Ces diodes servent à transmettre au porteur, l’information que les boîtiers A et B sont correctement synchronisés, et fonctionnent correctement.
Mes ces diodes électroluminescentes se situent sur les faces non visibles en condition de port normales.
Les faces non visibles des boîtiers A et B sont les faces en contact avec la peau, ou avec les cheveux ou avec les tissus des vêtements du porteur.
Le but est d’empêcher que ces signaux lumineux ne soient utilisés par un observateur extérieur pour contrôler le porteur.
Le but est d’empêcher que ces diodes ne servent d’outils de contrôle à distance, notamment par surveillance visuelle ou caméra par des supérieurs hiérarchiques.
L’objectif est de ne pas permettre l’humiliation.
Les stimuli évoqués ont pour objectif d’être ressenti exclusivement par le porteur lui-même.

La valeur de petit s peut aussi être modifiée à distance par l’intermédiaire d’un ordinateur ou d’un smartphone.
Il faudra établir une communication bluetooth sans fil entre l’ordinateur et les 2 parties A et B.
Je recommande que des études scientifiques soient menées afin de déterminer quelles sont les valeurs de petits s et petit d les plus adaptés à la démarche préventive d’auto-inoculation.

Les parties A et B sont équipées également de ports connectiques d’alimentation électriques.
Ces derniers permettent notamment de recharger les batteries à courant continu.
L’autonomie électrique des parties A et B est de 1 à 5 jours.

Description:

Sources:
« Or, depuis plusieurs décennies, des scientifiques, partout sur la planète, ont calculé et signalé qu’une des principales causes d’épidémie, ce n’est pas tant les capacités réplicatives des pathogènes, mais c’est en grand partie la faute de l’auto-inoculation. »
https://youtu.be/rriOpUeci90

« Plusieurs études scientifiques ont quantifié le nombre de fois où un humain se touche le visage par heure.
Chez 1 000 iraniens, le nombre de touchers du visage par heure étaient de 6 à 13.
Et ce, avant l’épidémie de COVID-19.
Dans 2 études américaines qui ont rapportées des observations directes de toucher du visage, la fréquence moyenne était de 9 et 62 fois par heure.
Dans 2 autres études aux États-Unis et au Japon, utilisant des enregistrements vidéos, les moyennes étaient de 16 et 18 fois par heure respectivement. »
https://youtu.be/pqlcJKbwTPw

« Environ 20 à 30% des gens ont des Staphylocoques dorés dans le nez. »
https://youtu.be/rriOpUeci90

« Quand on se touche une muqueuse du visage, c’est environ, dans environ 30% des cas: la bouche, dans environ 30% des cas: le nez et dans environ 30% des cas: les yeux.
Mais dans 6% des cas, on se touche une combinaison des 2 ou 3. »
https://youtu.be/rriOpUeci90

Fin des sources.

Pour recevoir gratuitement par mail mes futures vidéos sur le thème « Comment devenir immortel / sauvegarder et transférer sa conscience + sa mémoire »:
https://retexp.fr/recevoir-par-mail-les-prochaines-videos-sur-le-sujet-comment-devenir-immortel-sauvegarder-et-transferer-sa-conscience-sa-memoire/

Références personnelles et mon profil:

Références de mon sujet de thèse:
https://www.theses.fr/2016LARE0005

Un peu de biblio perso:
Manuscrit de thèse « RECONNAISSANCE AUTOMATIQUE DE SONS D’OISEAUX ET D’INSECTES ».
Olivier Dufour, le 18 février 2016, pour l’obtention du grade de Docteur de l’université de la Réunion »:
https://drive.google.com/file/d/1rPhJJMyPIi7ZUWQ_KzYGHbzBRyYJJdwR/view?usp=sharing
https://www.researchgate.net/profile/Olivier_Dufour2
https://books.google.fr/books?hl=fr&lr=&id=XGOfDwAAQBAJ&oi=fnd&pg=PA83&dq=olivier+dufour&ots=7gTOW4reSH&sig=Ux_G5gM3DgOAvTjX1IniIQR2Gko#v=onepage&q=olivier%20dufour&f=false
https://cel.archives-ouvertes.fr/LIP6/hal-01488785v1
https://hal-amu.archives-ouvertes.fr/hal-01488264/
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1574954116301194
https://doi.org/10.1016/j.ecoinf.2016.08.004

Les articles que j’ai reviewés pour la revue scientifique à comité de lecture « Ecological informatics »:
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1574954116301261
https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S1574954117300286
https://arxiv.org/abs/1909.04425
https://cel.archives-ouvertes.fr/LIP6/hal-01488786v1

F A C E B O O K
https://www.facebook.com/Science-Dr-Dufour-Olivier-2316438282013527/

T W I T T E R
https://twitter.com/dufour_dr

Je suis le Docteur Olivier Dufour. (Montpellier)


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